pyrenees en danse

"Rojo" de Mireia Miracle. (Madrid)

Clown Poético. VIERNES 29/8/25 en Erill La Vall.

 

PREMIO CIRCAIRE 2017
PREMIO IRKLIKA ARTIST EMERGENTE 2018
Nominé à La Nit del Circ au meilleur spectacle de rue et au meilleur clown show 2018
Montre recommandé par REDESCENA 2019​​

 

Un clown sort d'une valise, transforme le public en sa famille et lui dit au revoir plein d'illusions et de beaucoup de déchets. Mais le voyage sera interrompu par un obstacle : une frontière. Cette limite sera celle qui vous permettra le jeu, la danse et les différentes façons de faire face à ce qui se passe sur votre chemin. Le public fera partie du spectacle pendant tout le voyage: une foule qui dit au revoir en brandissant des mouchoirs blancs, une mère qui l'aide à s'habiller, un homme qui boit du café avec elle à travers le fil de fer, une femme qui lui offre une corde pour sauter ou des garçons qui deviennent les colonnes qui tiennent le toit de sa maison. En fin de compte, et toujours grâce à tout le monde, vous atteindrez votre objectif : la liberté.

​

​​

Oeuvres URBANA DANCE et CONTEMPOR-N
Samedi 30/8/25 à Barruera.

​ ​

 "Nunca Bailaré Solo" de Diego Garrido (Valladolid)

 

Concours CDC4 du prix public, Valladolid . 2021
Prix du Festival public 15m2, Barcelone 2022
Festival de la création Scénographie 15m2, Barcelone. 2022
Prix des jeunes spectateurs UNIQUEMENT à DANza, Ourense
Le prix SoLOTED à DANza Tour Costa Rica . 2023
Évaluation recommandée du programme.cat 2024

​

Comment pouvez-vous exprimer l'inexprimable ? le sentiment de perte, l'espoir, ne peuvent-ils être exprimés qu'avec le mouvement, avec la danse? accompagne Diego Garrido dans son évolution en tant qu'artiste, qui nous transporte dans sa dernière pièce : je ne danserai jamais seul.

Le danseur nous fait voyager, pour trouver l'espoir perdu après une grande perte. Il nous offre de trouver cette luminosité qui s'ouvre à travers l'ombre, étant le danseur lui-même une lumière en lui-même, et qui nous sert en tant que spectateurs à se rappeler qu'à l'intérieur de nous est aussi cette lumière, et cet espoir qu'ils pourraient être plus ou moins oubliés. Une vision particulière de la façon de comprendre et d'interpréter nos émotions et de les transformer en un plaisir des sens. L'harmonie du corps, les mouvements de l'artiste et la mise en scène transcendent le purement physique, nous transportent vers une dimension plus onireuse, mystérieuse et pleine d'espoir.

​

"El Mundo Atrás" de Rolando Salamé (Chile)

​​

Les gens disent, "Un jour, tu seras de retour." Mais personne ne vous dit comment vous revenez à un endroit qui n'existe plus. Je sais juste que je marche et que le monde se saoule à chaque pas. Amir Nizar zuabi.

Le monde, c'est un morceau de danse et de théâtre physique qui traite d'un exode, le voyage intérieur et extérieur des personnes déplacées, ce qui est pris avec lui, de ce qu'il porte, de ce qu'il laisse derrière lui, de ce qui reste. L'histoire est racontée par les corps en transit, en fuite, ou en chute, s'il y a une fin, des âmes qui sont équilibrées entre deux mondes, l'autre qui agonise et l'autre qui lutte pour naître, des êtres qui se lèvent encore et encore pour commencer un chemin sans certitude, mais qui pourraient représenter le triomphe de l'espoir sur la peur, où nos empreintes sont liées à celles de ceux qui nous ont précédés, en laissant derrière nous de vieux sanctuaires.

​

"La Elefanta Danza" de Teresa Martín Sauceda (Madrid)

​​

La danse de l'éléphant, est une allégorie, une prétention sur la vérité et la mémoire, sur les souvenirs que nous déforrelons parfois, ou restons inéinduites au fil des ans, mélangeant la réalité et le fantasme, et générant un mouvement "écrivant" similaire au réalisme magique littéraire. C'est une réflexion sur l'authentique, un animal qui avance, sans s'arrêter, honorer son histoire, se souvenir de ce qui a déjà transité et exposer au soleil sa peau tannées.


Teresa Martin-Sauceda, dans ce travail, s'oppose et oppose cette image géante d'une Élephant, et remet en question la force des vérités historiques.

​

​​

DANSGÉNERE

 SÁBADO 6/9//25 Pont de Suert.

 

 

"EL País Más Pequeño de Todos" Manuel Martín (Cantabria).

Danza Contemporánea

​​

Je me souviens de l'inconnu d'un corps caché et fragile.
Mais derrière cette fragilité, à la fois pleine de force et de précision.,, Eté un homme...

Le sentiment de ce qui n'était pas vu était de poids, de quelque chose de corpulent, grand et insistant dans son état de mystère. Mon désir était de voir votre visage. Je vous ai vu tourner et tourner et je me demandais à quoi ressemblerait votre expression.

 

"La Ilusión" Proyecto NaNa (Andalucía), danza contemporánea y clown.

 

Quelle est l'illusion ? Il n'a pas les pieds mais il a des ailes. Il a de nombreuses formes bien qu'aucune n'est concrète. Des chemins ouverts, mais il ne les promène pas. Construire des images qui se dissipent avec une bouffée d'air. Parfois, il vous abandonne, ou il vous affaiblit et tombe. C'est tout et rien, c'est et ce n'est pas, c'est le moteur et le frein, c'est la raison.  Cette courte pièce de clown dansante et immersive a été conçue pour des espaces non scéniques et des publics familiaux, Illusion, métaphoriquement, demande la vulnérabilité de l'individu, et comment le partager.

​

​​​

“M U T U A R” Manuel Martín & BATCH COLLECTIVE (Andalucía, Cantabria) Performance Comunitaria

​​

Cet atelier qui commencera pendant la formation et se terminera par une exposition collective avec les habitants de l'Alta Ribagoria, cherche à générer quelque chose d'observable et transmis entre les participants, l'espace sonore, l'espace visuel et l'espace physique.

​

Accompagnant l'événement avec la vidéocartographie de BATCH COLLECTIVE, et avec la collaboration de danseurs professionnels entre les participants de l'exposition, cette pièce propose de danser et de muter d'un état à l'autre après avoir bougé ensemble et de pouvoir changer tout en profitant du présent.​